La semaine dernière, nous recevions ce mail :
sos pour bichon frisé sans famille depuis 27 nov.2016 !!
Bonjour,
Ne sachant pas si on peut vous contacter par téléphone le samedi je vous écrit concernant le petit chien de ma maman décédée le 2 décembre 2016 à l'hôpital de Bourg en Bresse.
Son petit bichon frisé bijou se trouve dans une pension depuis le 27 novembre suite à son hospitalisation pour de multiples fractures. Elle était âgée et handicapée de puis plusieurs années et suite au départ de mon papa pour la maladie d'Alzheimer dans une résidence, Bijou ne sortait presque plus car elle n'avait confiance en personne.
Bien qu'étant sa fille, je suis dans l'impossibilité (raison santé) de recueillir Bijou. Nous sommes tombés dans la précarité totale...
Nous résidons en Suisse près de Lausanne, j'ai pris beaucoup de contact depuis le 7 décembre mais rien pas une lueur, il faut le vaccin de la rage délai 21 jours pour entrer en suisse et les associations me disent que les gens veulent adopter de jeunes chiens en bonne santé.
Bijou est traité depuis quelques mois pour la maladie de Cushing et là c'est un obstacle de plus.il a 10 ans à la pension on me dit qu'il va bien il joue avec des petites chiennes , il mange, et ils semblent beaucoup l'apprécier, mais le prix de la pension court tous les jours.
Ayant placé une annonce moi même sur un site suisse, j'ai eu la réponse d'une personne adorable qui m'a aiguillée vers sa maman qui a adopté 2 chiens venant de chez vous (Kamaji et Tulio) mais bien sûr elle a déjà 3 chiens et ne peut prendre en charge un de plus.
Ce mail est un appel à l'aide : j'ai essayé tellement de choses, même un refuge près de la frontière imaginant aller voir Bijou jusqu'à son adoption et là la responsable m'a dit fermement qu'il faut euthanasier le chien !
Je n'arrive pas à me décider à mettre Bijou finir ses jours dans un refuge et le temps presse, quoi faire? Pourriez vous m'apporter vos conseils et votre soutien, j'ai parcouru votre site et j'ai vu que vous faites un travail magnifique pour sauver ces malheureux, c'est admirable !
Vous remerciant de me lire, je vous prie d'accepter, Madame, mes salutations les meilleures.
Jacqueline C.
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